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Des compulsions alimentaires?

Grignotage, grosses portions, crises de sucre? Manger peut devenir une réponse émotionnelle aux tensions internes, à l’anxiété ou à la détresse affective.

Dans certains cas, cette dynamique s’apparente à une addiction comportementale, où le plaisir immédiat offert par la nourriture prend le pas sur la satiété, l’équilibre corporel ou même la conscience de soi.

D’autres peuvent chercher inconsciemment à augmenter leur poids non par excès, mais comme moyen de compenser un sentiment de vulnérabilité, d’insécurité ou de manque de contrôle.

En mangeant, on peut aussi essayer de "retrouver" un morceau du passé. Proust en parlait avec sa madeleine, mais au-delà de certains plats ou desserts, c'est une certaine "dynamique" qu'on recherche parfois, comme par mimétisme. Exemple: "Mon père d'origine italienne aimait préparer des lasagnes. Aujourd'hui décédé, je reviens vers ce plat souvent pour "revivre" une période d'insouciance."

On peut aussi associer la nourriture à l'affection. On ne mange pas que des aliments, on mange l'amour qu'on nous donne dans l'assiette. Parfois, c'était la seule marque d'affection de certains parents.

Manger peut aussi servir à "remplir" un vide ou à satisfaire un manque affectif. On vient se rassurer, avant de culpabiliser.

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Ce que nous choisissons de mettre dans notre assiette ( qualité ou quantité) reflète nos besoins psychologiques, révélant des émotions implicites que nous ne savons pas toujours nommer.

Comprendre cette interaction entre affects, cognition et comportements alimentaires constitue un pas vers une relation plus consciente et respectueuse avec soi-même.

Comment pouvons-nous reconnaître ces automatismes émotionnels sans jugement, et quelles alternatives émotionnelles pourrions-nous explorer au quotidien ?

Via l'hypnose et la thérapie orientée solutions, on se fixe un objectif à atteindre.

Vous n'êtes pas votre poids, vous êtes bien plus que ça.

 
 
 

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